LA FERME DU MARTEL

Il était une fois UNE FORÊT/JARDIN D’ABONDANCE

Voici dans la campagne du sud de la France, entre Toulouse et le Gers, la vieille ferme du Martel située à Bonrepos-sur-Aussonnelle. Autrefois élevage de porcs, pensions pour chevaux ou location pour humains de passage, elle veut aujourd’hui renouer avec son dessein d’antan : une ferme traditionnelle pleine de vie avec une forêt/jardin, des animaux et un coin de forêt naturelle. C’est un endroit unique mais aussi un lieux d’échanges et de partage de connaissances grâce aux différentes formation qui y sont organiser tout au long de l’année.

Alexis Lafontan est l’initiateur du projet est nous propose de visiter son lieu contactez nous si vous êtes intéressé pour la prochaine visite ! Programme

Au-delà de l’abondance visuelle et olfactive, la Ferme du Martel incarne nos valeurs de durabilité, de respect de la nature et d’éducation environnementale. Nous sommes ravis de partager nos connaissances avec vous et de vous inviter à explorer ce lieu où la coexistence harmonieuse entre les animaux, les arbres et l’homme est une réalité vivante.

Nous espérons que cette visite vous inspirera à considérer notre environnement avec un regard nouveau, à apprécier la magie de la nature et à vous connecter profondément avec les richesses qu’elle a à offrir. Profitez de chaque instant au sein de la Ferme du Martel : Une Forêt-Jardin en Abondance !

L’histoire

Mais qui pourrait bien aider la vielle Martel ?

On demande au village mais chacun a déjà maison, femme, mari, enfants et travail.

On demande aux lutins de la forêt mais chacun est déjà en charge de la santé de quantité d’arbres.

On demande aux fées du ruisseau mais chacune veille déjà sur les berges de l’Aussonnelle.

Alors on décide de partir plus loin demander à la Ville Rose.  » Hum, je pense à 5 jeunes amis pour vous aider. » dit-elle. »

Attendez, comment savoir qu’ils seront à la hauteur de la tâche ?“ demandent villageois, fées et lutins. »

Et bien mettez-les à l’épreuve, ils vous prouveront qu’ils sont les bonnes personnes pour cette délicate mission.  » répond la Ville Rose.

Après avoir décidé des épreuves qui jalonneraient leur parcours, on accepte l’arrivée des 5 amis.

Et voilà Laurie, Alexis, Solène, Jérémie et Mathieu en route pour cette grande aventure.

Mais voilà, dès leur arrivée, un évènement inattendu vient tout perturber : Mathieu, appelé par d’autres obligations lointaines, doit quitter l’équipe.

« Vous nous aviez assuré que nous pouvions leur faire confiance ! » s’indignent les gardiens de la vieille Martel.« Je sais, je sais… » répond la Ville Rose, gênée. « Il en reste encore 4, laissez-les faire leurs preuves. »« Dans ce cas, nous serons impitoyables ! »Les fées décident d’ouvrir les hostilités.

Un orage terrible éclate ! Le vent, les éclairs, la pluie, la grêle font voler les tuiles, écrasent les plantations, font rompre les arbres. La nuit parait interminable. Au matin, les quatre amis constatent les dégâts, réparent, replantent, tronçonnent, reconstruisent.« A nous ! » s’écrient les lutins.

Les planches et les poutres qui soutiennent les constructions sont enduites d’un discret mélange visqueux. Les 4 amis glissent, leurs amis venus les aider glissent aussi, les travaux de construction ralentissent, des blessés doivent être évacués.

Mais les 4 se relèvent, ils relèvent leurs amis, contournent les dangers et continuent les travaux.« Vous êtes des incapables ! » s’écrient certains villageois. « Nous saurons les faire plier sans nous salir les mains. ». Les autorités locales sont saisies. On cherche par tous les moyens à leur mettre des bâtons dans les roues. Mais voilà, à chaque demande inattendue les amis cherchent une solution, sollicitent d’autres amis, trouvent de l’aide, continuent d’avancer.

On cherche alors à les décourager en leur opposant des discours pessimistes, notamment au sein de leurs alliés. Les quatre restent unis, réfléchissent, s’adaptent.

On ajoute des difficultés techniques, rendant impossible certaines installations indispensables. Alors, les plans sont modifiés, les installations déplacées.

On augmente leur charge de travail par des fourberies du quotidien. Petit à petit, les clôtures sont réparées, les points d’eau sécurisés, les pannes résolues, les trous rebouchés.

Fatigués, les gardiens s’interrogent : « Mais comment faire pour les décourager ? ».C’est alors que la vielle Martel demande : « Et moi ? Personne ne me demande mon avis ? ».Silence.« Vous me trouvez vieille et vous voulez m’aider. J’ai traversé bien des âges et j’ai été bien des choses.

La lune, les étoiles et le soleil me regardent en souriant. Je suis aussi jeune pour eux que vieille à vos yeux.

Chaque âme passant ici fait partie de ce que je suis aujourd’hui. La leur fera partie de ce que je serai demain. Vos enfants en témoigneront. ».Après ces paroles, le calme revint, et le travail se poursuivit.

Aujourd’hui, Laurie, Alexis, Solène et Jérémie ont envie de continuer à écrire cette belle histoire avec vous.